Projet sportif pour l'avenir de La Berrichonne de F.Malouda

Combien d'euros se partage les actionnaires tous les ans, ils vont nous dire qu'ils ont remis de l'argent quand la Berri en avait besoin, ce qui peut être exact mais c'est le rôle aussi des actionnaires de faire pérenniser le club?

Non pas de retour pour le moment de Mr le Maire.
On verra le jour où je lui porterai la pétition avec les signature qui continuent de grimper depuis l'annonce de Malouda.
Mort de rire, y a meme quelqu'un avec qui on a longuement débattu dans les commentaire de la petition qui a signer ce soir , hahahaha comme quoi y a que les imbéciles qui ne changent pas d'avis

Denisot fait parti du même sérail que les dirigeants actuel, le même milieu et Cheboud sera pareil dans quelques temps.

Berrichon36 pourquoi tu ne peux pas donner les raisons du retournement de veste de Denisot?

ce sont des en***** shoen en premier , il faut foutre le bordel meme , pendant le match de l'équipe de France , ils doivent dégager ces pourritures

shoen est un menteur ,un affabulateur

Schoen et Allegre = a la porte!!
F.Malouda sa aurait était mieux qu'il vien a la Berri! bordel

Malouda : " Je n'étais pas désiré "


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Florent Malouda ne sera pas le nouvel homme fort de la Berri


Au lendemain du refus de son projet de reprise de la Berri ayant entraîné sa démission du conseil d’administration, Florent Malouda livre ses vérités à la NR. En délivrant quelques tacles appuyés.
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Les histoires d'amour finissent mal, en général. Celle entre Florent Malouda et la Berrichonne ne dérogera pas à la règle. Même si l'ancien international affirme n'avoir « aucun regret » et réitère ici son « soutien à ce club que j'aime », sa démission fracassante du conseil d'administration, lundi soir, dans la foulée du refus prononcé par ses membres de son projet de reprise, le conduit à livrer ses vérités. Avec le même punch qu'il affiche sur un terrain. Entretien exclusif.
Lundi matin, quelques heures avant la tenue du conseil d'administration, vous avez posté un message lapidaire sur votre compte Instagram ? Aviez-vous senti que les dés étaient déjà pipés ?
F.M. « Ce que j'ai écrit résume ce que je pense. A la limite, il n'y a rien d'autre à ajouter. D'ailleurs, j'ai redit exactement la même chose aux personnes concernées, le soir, pendant le conseil d'administration. Ils étaient vexés, mais s'ils sont susceptibles, tant pis pour eux. Je dis toujours les choses franchement, ouvertement. Je n'ai rien à cacher. Moi, je ne fais pas de déclarations anonymes dans la presse, je parle en mon nom… »
Qu'est-ce qui a réellement fait capoter les choses ?
F.M. « Il n'y a pas eu d'affrontement, ce n'était pas un rapport de force. Simplement, on n'a pas du tout la même vision des orientations à donner au club pour qu'il se relève. Je n'étais manifestement pas désiré et on m'a bien fait sentir que je n'étais pas chez moi. On n'est pas dans le même système. J'étais face à des gens en place qui sont bien en place… Moi, je ne veux surtout pas déranger. »
Est-ce la seule raison ?
F.M. « Par-delà le projet présenté, il y a aussi un bilan dont tu hérites. La difficulté est là, aussi. Si je voulais être majoritaire, c'est pour que je puisse distribuer l'argent au profit du club pour qu'il se développe, et non pour le mettre dans les poches des actionnaires. »
Ce projet, on en a beaucoup parlé, mais quel était-il exactement ?
F.M. « A quoi sert-il d'en parler puisqu'il n'a plus lieu d'être ? Mon unique objectif, à travers ce projet, c'était d'aider la Berrichonne football à se relever. Ce projet, j'ai travaillé deux mois dessus à temps complet avec mon équipe. J'ai engagé cinq personnes, notamment un avocat, un expert-comptable, un conseiller en gestion et un conseiller sportif pour réaliser le dossier le plus élaboré possible. »
Aujourd'hui, regrettez-vous de vous être lancé dans cette aventure ?
F.M. « Non, aucun regret. J'aurais pu ne pas le faire, en effet. Je suis toujours joueur professionnel à Metz, ma famille habite à Lyon ; mais, ces derniers temps, j'ai passé presque tous mes week-ends à Châteauroux pour venir sonder, afin d'avoir le maximum d'éléments en ma possession. Je pense que je n'aurais pas pu m'impliquer plus que cela. J'ai mis beaucoup de cœur et consacré du temps à l'élaboration de ce projet. »
Pourquoi vous être autant investi ?
F.M. « Parce que c'était la Berrichonne. Je pense même que se lancer dans un tel projet est suicidaire dans le contexte actuel. Mais je l'ai fait parce que c'est un club que j'aime et qui me tient à cœur, tout le monde le sait. Si cela avait été pour un autre club, je n'aurais même pas osé écrire une ligne. »
" J'étais face à des gens en place qui sont bien en place… "Votre décision de démissionner immédiatement peut paraître brutale…
F.M. « J'étais obligé de le faire, par honnêteté intellectuelle. J'ai pris mes responsabilités, tout simplement. Je ne suis pas prisonnier d'un titre ou d'une fonction. Et je ne fais pas ça pour donner des leçons. Mais, comme je l'ai dit, je considère qu'il faut assumer un échec, en tirer les leçons et se retirer si on en est responsable. Ce n'est pas possible de s'entendre ? Alors, il faut dire stop et démissionner, c'est ce que j'ai fait. Pour moi, c'est fini. A un moment donné, il faut faire les choses, s'engager clairement. »
Il y a urgence, selon vous ?
« La situation du club est critique, oui. Je ne sais d'ailleurs pas si tout le monde a bien conscience de la situation dans laquelle il se trouve… D'après ce que j'en sais, et je ne sais pas tout puisque, même en étant actionnaire et membre du CA, on m'a refusé l'accès à certains documents pour l'élaboration de mon projet, je ne peux absolument pas cautionner ce qui se passe actuellement dans ce club. »
A vous écouter, on a l'impression que la Berri va droit dans le mur…
F.M. « Mais je ne veux pas qu'elle aille dans le mur ! Je ne veux pas tout brûler. Et je ne veux pas polémiquer, parce que cela ne sert à rien. Je ne suis pas un adepte de la division et je dis clairement qu'il faut continuer à soutenir la Berri et prier pour qu'elle aille mieux dans les années à venir. Mais j'espère simplement que l'équipe va être repêchée en Ligue 2, je le lui souhaite vraiment… »
L'échec de votre prise de pouvoir a déclenché une vague de soutien à votre égard. Êtes-vous sensible à ces témoignages ?
F.M. « Je respecte beaucoup les gens qui aiment la Berrichonne, les autres, non. Ceux qui aiment vraiment ce club n'ont cessé de me prouver leur attachement. Mais ceux qui s'en servent m'ont aussi démontré le contraire… »

Propos recueillis par Ludovic Lagasse  

Thierry Schoen : " Un hold-up financier "

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Le président de la Berrichonne n'a pas compris la proposition de Florent Malouda « qui voulait racheter 51 % pour seulement 42.000 € »


Le président de la Berri a organisé une conférence de presse, hier après-midi, où il a décrit par le détail “ l’hallucinante proposition de Florent Malouda ”.
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Au lendemain de la réunion du conseil d'administration avec Florent Malouda (NR d'hier), le président de la Berrichonne football, Thierry Schoen, a expliqué pourquoi la proposition de Florent Malouda de prendre les rênes du club était tout bonnement « inacceptable ».
Que vous a proposé précisément Florent Malouda lundi soir ?
T.S. « Il souhaitait racheter le club, en devenir actionnaire principal avec 51 % des actions, c'est-à-dire obtenir les pleins pouvoirs pour seulement 42.000 € ! Je suis resté abasourdi, ce club a une valeur tout de même. »
" Je suis terriblement déçu par Florent Malouda "Quelle est cette valeur ?
T.S. « On peut estimer les capitaux propres à 1 M€, plus 1,8 M€ de trésorerie. 42.000 €, je n'y crois pas ! L'ensemble du conseil d'administration a été surpris. Cela aurait été un hold-up financier. »
Avez-vous tenté de discuter ?
T.S. « Bien sûr, mais lui et ses conseillers ne voulaient rien savoir, refusaient même l'idée d'une expertise extérieure sur la valeur de la Berrichonne. On ne peut pas dilapider le club ainsi, on a été contraint de lui adresser une fin de non-recevoir… »
Comment avez-vous perçu son commentaire, lundi matin, sur son réseau Instagram, où il appelait à la démission de l'équipe dirigeante actuelle ?
T.S. « Là non plus, je ne m'explique pas cette violence. C'est quoi cette façon de faire ? Vous insultez les gens le matin, vous les jugez, vous appelez à leur démission, avant de les retrouver en réunion le soir… Je lui ai dit en préambule que je n'avais pas compris son attitude, il a répondu qu'il assumait. Ahurissant ! »
Quel était son projet sportif évoqué depuis plusieurs semaines ?
T.S. « C'était assez flou. Après être entré au conseil d'administration, il y a un peu plus d'un an, il nous avait confié sa volonté de s'engager davantage, il y a quelques semaines. Le 11 avril, il avait fait la présentation à l'équipe dirigeante d'une ébauche de son projet sportif, qui nous avait semblé intéressante. A vrai dire, c'est plutôt l'homme qui nous avait séduits. Par ses qualités, son palmarès, le fait qu'il ait été formé à la Berrichonne… Ça donnait un souffle nouveau, on était prêt, moi le premier, à lui passer la main. On lui a fourni tous les éléments pour qu'il finalise son projet afin qu'il le présente hier (lundi) soir. Mais dans ces conditions, c'était impossible d'aller plus loin. Quand on gère du mieux possible une entreprise, est-ce qu'on la donne ? J'estime qu'il nous a manqué de respect, je suis terriblement déçu par Florent Malouda. Je pense surtout qu'il a été très mal conseillé. »
Comment vous êtes-vous quittés ?
T.S. « Il n'y avait rien à ajouter. Je pense qu'il va démissionner du conseil d'administration et redonner l'action qui lui avait été offerte. J'espère qu'il ne va pas demander qu'on la lui paye… »
Êtes-vous en attente d'un autre repreneur ?
T.S. « On n'est pas dans la logique de céder le club n'importe comment. Ce club, c'est une institution, le but c'est de lui redonner du lustre, de le rendre pérenne. »
La structure n'est-elle pas obsolète ? On prétend que des gens s'accrochent à leur place coûte que coûte ?
T.S. « Mais qui s'accroche ? Personne ne s'accroche ! Il y a trente-trois actionnaires, aucun principal, c'est un fonctionnement collégial. Ils ne sont pas là pour faire de l'argent. Ils ont investi, il y a plus de vingt ans, et sont restés fidèles. Il n'y a aucun intérêt, si ce n'est la sauvegarde des intérêts du club. On peut envisager des changements, on en a d'ailleurs fait la preuve en acceptant d'étudier le " projet " de Florent, mais pas n'importe quoi. »
Comment voyez-vous la suite ?
T.S. « On a repris la Berri, il y a dix-huit mois, après la démission de Patrick Le Seyec. La situation était délicate. Je rappelle que je suis devenu président un peu par accident, mais j'ai accepté en raison de mon attachement au club. Je rappelle aussi qu'on fait tout cela bénévolement, au service du club. On a beaucoup travaillé le côté financier, sans doute en négligeant trop le sportif (lire ci-contre). Sauf miracle, on va repartir en National, la saison prochaine. Ça se fera avec l'équipe actuelle, peut-être en modifiant l'organisation. Il faut qu'on soit plus précis, plus actifs, plus présents, plus professionnels. On réfléchit à un nouveau projet. »

Propos recueillis par Jean-Marc Le Ruyet  

Franchement pas envie de décortiquer tout le texte, y a tellement d'inepties que je laisse le soin à chacun de les relever.
Juste une qui m'a fait rire (jaune)

T.S. « Là non plus, je ne m'explique pas cette violence. C'est quoi cette façon de faire ? Vous insultez les gens le matin, vous les jugez, vous appelez à leur démission, avant de les retrouver en réunion le soir… Je lui ai dit en préambule que je n'avais pas compris son attitude, il a répondu qu'il assumait. Ahurissant ! »

C'est juste énorme. Thierry Schoen se prend un retour de manivelle verbal et il comprend pas (ou fait mine de pas comprendre pour toucher les gens)

(Rappel des fait: Lors d'un entretien sur France Bleu Berri et suite à la mise à pied de Gastien par téléphone, Thierry Schoen avait été questionné sur la manière de cette éviction de l'entraîneur, ce à quoi il avait répondu: "j'assume")

Tout cela n'annonce pas un avenir réjouissant pour notre Berri. Exit donc Malouda. Qui sera le prochain? Nos dirigeants souhaitent gérer un club Pro comme une entreprise familiale ce qui est incompatible. La Berri pourrait connaître sa traversée du désert. Cela va jouer énormément sur le montant des subventions (ville - région). Quel dommage d'en arriver là.

Denisot que tout le monde appel, rien rien rien pas un mot, bien sur il y a un président qui prend la parole. Les 4 vices président sont aux abonné absent, attendent 'ils leur heure qui sait. Un tandem Denisot Chiboud pourquoi pas mais leur avenir pour un, est à Paris, l'autre son avenir il l'a derrière lui mais il a encore beaucoup d'activités donc présence physique sur le site faible. Les joueurs de l'équipe ne sont pas des anges, si on n'est pas présent c'est le foutoir comme cette saison. Le président actuel l'a reconnu, le financier est passé avant tout autre chose cette saison.
La procédure de licenciement contre Gastien est engagée affaire a suivre, le président annonce que la méthode Daury commence a payer, il nous prépare a annoncer qu'il sera le futur entraineur en National.

ça part mal

il veut repartir avec les mêmes ,ça veut dire qu'il n'a pas d'autres projets à étudier ce menteur ,en plus il se contredit sans arrêt ,cette raclure , je vais vous donner le numéro ,le lieux exact ou se réunissent ces francs macs souvent le mardi route d'argenton ,histoire d'aller un peu les perturber

Tous ceux qui sont ok, venez en CA avec nous lors du dernier match.

Faire ce genre d'actions lors du match de l'EDF Féminines n'est pas une bonne chose, ce match doit être une fête et non un lieu de règlement de comptes.

argel a écrit:Il n'aurait propose que 42000 euros pour détenir 51% :INNACCEPTABLE

Il me semble que tu signais pour MALOUDA il y a encore quelques jours ...

fait toi plaisir lefelin il y en mare

dolioo a écrit:fait toi plaisir lefelin il y en mare

Dolioo, c'est pas un plaisir, ca nous fait pas plaisir, on préfèrerai que ca se passe autrement... Et c'est tout le monde qui devrait monter au créneau, pas une personne par ci et une par là

C'est marrant quand j'écoute les deux conversations de Schoen, dans une il dit qu'il n'y a eu aucune négociation, pas de discussion rien et que le prix a été annoncé d'emblé et dans la deuxième il laisse entendre qu'il y a eu des discussions, il est fort l'président.

Bien sur que j'aurais voulu que malouda ça se fasse mais force est de constater qu'y a quelque chose qui a cloché, j'ai entiere confiance en michel denisot et s'il a rompu le contact c'est qu'il ne le sentait pas!
dont acte préparons le national,maintenant