Mathieu Chabert - entraîneur

alain a écrit:Je pense que Chabert c'est remis en question, il a complètement changé de style de jeu. Il faut espérer qu'il ne retourne pas en arrière, maintenant trouvons un buteur ou commençons par faire jouer Roux et Ndour ensemble, c'est peut etre une bonne idée quelqu'un là déja proposé

Après 2 matchs amicaux il c'était remis en question et avait changé de fusil d'épaule en arrêtant le 532 et après des débuts sans être extraordinaire on venait quand même de battre un gros Dunkerque, la 1er chose qu'il a fait c'est de retourner en arrière avec un 532...

Quand on entend que pour lui, le seul problème c'est l'efficacité... Il a l'air complètement dépassé et perdu, et fait presque de la peine.... Faut en finir la et pour le bien de tous

C EST AU DEBUT de saison qu il fallait l entraineur et que Mrs Trottignon et Cordonnier prennent les bonnnes decisions!! aujourdhui c la Beresina et les joueurs sont incapables de mettre un pied de vant l autre niveauregional!!!!!!

Ce mardi 29 novembre, Mathieu Chabert assurait bien la séance d’entraînement du matin de la Berrichonne, au lendemain de la claque infligée par Le Mans (0-3). Il n’y a pas encore de certitude mais il paraît de plus en plus probable que les jours, voire les heures du Biterrois à la tête de l’équipe sont comptés.

Le groupe United se pose des questions
Patrick Trotignon, directeur général du club, ne l’a pas confirmé officiellement mais son propos ne laisse guère planer de doute : « Ce n’est pas moi qui décide de quoi que ce soit », déclare-t-il en préambule, mais il ne cache pas « que United (basé à Genève) s’est posé des questions cette nuit (après le match) et s’en pose encore ce matin ».

Est ce que quelqu'un a la suite de l'article sur la NR ?

Je m'interroge quand même sur cette phrase : "Ce n’est pas moi qui décide de quoi que ce soit". CA fait un peu flipper non ?

La NR de ce jour

Après l’humiliation infligée ce lundi 28 novembre par Le Mans (0-3), la Berrichonne doit impérativement réagir. Cela passe-t-il par un départ de l’entraîneur, Mathieu Chabert ? Tour d’horizon de la situation.

Ce mardi 29 novembre, Mathieu Chabert assurait bien la séance d’entraînement du matin de la Berrichonne, au lendemain de la claque infligée par Le Mans (0-3). Il n’y a pas encore de certitude mais il paraît de plus en plus probable que les jours, voire les heures du Biterrois à la tête de l’équipe sont comptés.

Le groupe United se pose des questions
Patrick Trotignon, directeur général du club, ne l’a pas confirmé officiellement mais son propos ne laisse guère planer de doute : « Ce n’est pas moi qui décide de quoi que ce soit », déclare-t-il en préambule, mais il ne cache pas « que United (basé à Genève) s’est posé des questions cette nuit (après le match) et s’en pose encore ce matin ».

On a bien compris que le groupe United World, propriétaire du club, ne souhaitait pas a priori se séparer de l’entraîneur. Reste que, face à un bilan aussi décevant, les Saoudiens ne peuvent rester les bras croisés.

Flachez ou Bijotat, solutions de replis en interne
L’entraîneur de la Berri sera-t-il sur le banc de la Berri, vendredi 3 décembre, pour les retrouvailles avec son ancien adjoint, Karim Mokeddem ? Ou sera-t-il remplacé par un des deux autres coachs salariés du club et disposant du diplôme requis (BEPF) : son actuel adjoint, Maxence Flachez, voire Dominique Bijotat, qui est de retour depuis quelques mois à la Berri, via l’académie ?

À ces questions non plus, pas de réponses certaines, juste des présomptions renforcées par plusieurs constats.

> Une situation qui s’aggrave. La Berrichonne s’enfonce inexorablement au classement : après 13 journées, la Berri se retrouve 12e avec 16 points, à égalité avec Nancy (13e et premier relégable). « On est très loin de nos ambitions, confie Patrick Trotignon. Le début de saison a été acceptable parce que tout le monde avançait à un rythme de tortue mais, avec le match d’hier (lundi), on a touché le fond. » Châteauroux pointe à dix longueurs du leader Concarneau et à six des deux dauphins, Versailles et Dunkerque.

Quand on prend 3-0 à la maison, on a qu’à la boucler

Patrick Trotignon, directeur général de la Berri
> Des chiffres terribles. « Je sais que quand on prend 3-0 à la maison, on a qu’à la boucler, poursuit Trotignon. On n’a pas été dépassés dans le jeu par cette équipe du Mans sauf qu’eux n’ont pas besoin de centaines d’occasions pour marquer. Le score est lourd et illustre notre problème chronique avec un but marqué lors des quatre derniers matchs de championnat. »

C’est vrai que, hors Coupe de France, la Berrichonne se montre inoffensive depuis le beau succès contre Nancy (3-1, 12 octobre), qu’on prenait pour un déclic et qui s’avère être de la poudre aux yeux. Défaites à Borgo (2-1), à domicile contre Versailles (0-1), match nul à Cholet (0-0), et nouvelle défaite contre Le Mans (0-3). Un point pris, un but marqué, six encaissés : les quatre derniers matchs de la Berri illustrent les grosses difficultés actuelles.

> Une absence de rébellion. Après une entame correcte lundi soir, la Berri, bien passive en défense, a subi un double crochet pleine face de la part des Manceaux, qui ont inscrit deux buts en à peine deux minutes.

On jouait seulement la 20e minute et il y avait encore largement la place pour se révolter. La révolte a fait pschitt, les Castelroussins se sont bien procuré quelques situations dangereuses, notamment Roux deux fois, mais ce sont les Sarthois qui ont frappé une troisième fois, faisant preuve d’une agressivité et d’une conviction largement plus probante.

Cette absence de réaction dans une situation pourtant grave suggère que le groupe de joueurs n’est pas loin de renoncer. Ce qui accréditerait encore davantage l’hypothèse d’un départ. À suivre…

Aucun communiqué du club n’a encore été transmis. La dernière information émanant de la Berrichonne est l’annonce de la conférence de presse d’avant-match qui se tiendra jeudi à 14 h… en présence de Mathieu Chabert.

Mathieu Chabert : « Je n’ai pas l’habitude d’abandonner le navire »
On le serait à moins, Mathieu Chabert est apparu très marqué lundi soir, en salle de presse, lors des réactions d’après-match : « C’est un mal récurrent, on a un énorme manque d’agressivité. C’est très inquiétant, il faut s’énerver dans le bon sens du terme, on ne peut pas accepter, j’en ai assez qu’on se fasse siffler, il faut une énorme réaction d’orgueil. »

Quelles solutions apporter ?
« Ce ne sont pas des moments agréables à vivre, ça fait partie d’une carrière. C’est là qu’il faut qu’on soit unis et qu’on vomisse, qu’on déteste ces situations. Qu’on ait de la fierté. On manque de tranchant dans les zones de vérité et ça, ce n’est que mental, il faut haïr ces situations-là. On aurait pu jouer des heures sans marquer, c’est fatigant de vivre des moments comme ça. »

Les joueurs vous écoutent-ils encore ?
« J’ai l’impression… Il faut leur demander. Il n’y a rien qui laissait présager cela, c’est ça qui est terrible. »

Comment voyez-vous votre avenir à la Berrichonne ?
« Ce n’est pas la question de l’avenir de Mathieu Chabert, mais de l’avenir de la Berrichonne de Châteauroux. Il faut qu’on prenne conscience de ça. Ce n’est pas à moi qu’il faut poser la question. Moi, je suis là, je travaille tous les jours pour sortir la Berrichonne de ce mauvais pas. Si vous saviez ce que j’ai vécu dans la vie, ce ne sont pas quatre matchs sans victoires qui vont couper mon élan. J’ai déjà entraîné des équipes qui se sont relevées de choses bien plus graves. Je n’ai pas l’habitude d’abandonner le navire, ni de lâcher mes joueurs. Il y a un manque de confiance et de sérénité mais ils travaillent et c’est comme ça qu’on redresse des situations. »

Ca veut peut-être dire qu'il se sente arnaquer, on leur avait promis une belle mariée et la mariée ne tient pas les promesses.

Divorce ou pas.

En quelque sorte, Trotignon botte en touche, c'est un peu facile .

Je veux bien croire que United est l'ordonnateur en chef mais le recrutement qui l'a organisé, c'est bien localement, à mon sens.

La phrase qui m'interpelle comme l'a dit cerber: Trot a dit: ça n'est pas moi qui décide de quoique ce soit, le, les problèmes viennent tout ou partie de là a mon sens lors de ses précédents passages a la berri Trot décidait, maintenant ça n'est plus le cas,il exécute , United a 80% des parts du club.
Ca va ètre dur!

Je verrais bien rapidement un Tandem Bijotat-Flachez....en intérim au moins jusqu'a la trève!

Chabert est remercié remplacer par son adjoint sur France Bleu

Flachez ne fait pas rêver….mais alors vraiment pas, zéro expérience

Solution transitoire on imagine.

Avant de trouver un nouveau baratineur, avé l'assent, sympa avec tout le monde, et sans autre projet que de jouer en contre.

L'ADN des 10 dernières années du club, c'est bien (malheureusement) celle-là !!

la NR à 18 H 26

Après l’humiliation infligée lundi soir par Le Mans (0-3), la Berrichonne devait impérativement réagir. Le groupe United a décidé de faire partir l’entraîneur, Mathieu Chabert, remplacé par son adjoint, Maxence Flachez.

Ce mardi 29 novembre, Mathieu Chabert assurait bien l’entraînement du matin de la Berrichonne, au lendemain de la claque infligée par Le Mans (0-3). C'est désormais une certitude, il s’agissait de sa dernière séance. Ce qui n’est pas vraiment une surprise, il paraissait de plus en plus probable que les heures du Biterrois à la tête de l’équipe étaient comptées.

Le groupe United se pose des questions
Patrick Trotignon, directeur général du club, l’a confirmé officiellement : « Le groupe United a décidé de passer des services de Mathieu Chabert qui est remplacé à la tête de l’équipe par son adjoint, Maxence Flachez. On l’a annoncé ce mardi aux joueurs. »

Après la débâcle mancelle, les Saoudiens, propriétaires du club, « se sont posé des questions cette nuit » et ont fini par trancher. Le désormais ex-entraîneur sera donc remplacé par son adjoint sur le banc de la Berri, vendredi 3 décembre, contre Saint-Brieuc. Maxence Flachez a l’avantage de disposer du diplôme requis (BEPF).

United World, propriétaire du club, ne souhaitait pas a priori se séparer de son entraîneur. Reste que face à un bilan aussi décevant, les Saoudiens ne pouvaient rester les bras croisés. Plusieurs constats ont conduit à cette décision radicale.

> Une situation qui s’aggrave. La Berrichonne s’enfonce inexorablement au classement : après 13 journées, la Berri se retrouve 12e avec 16 points, à égalité avec Nancy (13e et premier relégable). « On est très loin de nos ambitions, confie Patrick Trotignon. Le début de saison a été acceptable parce que tout le monde avançait à un rythme de tortue mais, avec le match d’hier (lundi), on a touché le fond. » Châteauroux pointe à dix longueurs du leader Concarneau et à six des deux dauphins, Versailles et Dunkerque.

Quand on prend 3-0 à la maison, on a qu’à la boucler

Patrick Trotignon, directeur général de la Berri
> Des chiffres terribles. « Je sais que quand on prend 3-0 à la maison, on a qu’à la boucler, poursuit Trotignon. On n’a pas été dépassés dans le jeu par cette équipe du Mans sauf qu’eux n’ont pas besoin de centaines d’occasions pour marquer. Le score est lourd et illustre notre problème chronique avec un but marqué lors des quatre derniers matchs de championnat. »

C’est vrai que, hors Coupe de France, la Berrichonne se montre inoffensive depuis le beau succès contre Nancy (3-1, 12 octobre), qu’on prenait pour un déclic et qui s’avère être de la poudre aux yeux. Défaites à Borgo (2-1), à domicile contre Versailles (0-1), match nul à Cholet (0-0), et nouvelle défaite contre Le Mans (0-3). Un point pris, un but marqué, six encaissés : les quatre derniers matchs de la Berri illustrent les grosses difficultés actuelles.

> Une absence de rébellion. Après une entame correcte lundi soir, la Berri, bien passive en défense, a subi un double crochet pleine face de la part des Manceaux, qui ont inscrit deux buts en à peine deux minutes.

On jouait seulement la 20e minute et il y avait encore largement la place pour se révolter. La révolte a fait pschitt, les Castelroussins se sont bien procuré quelques situations dangereuses, notamment Roux deux fois, mais ce sont les Sarthois qui ont frappé une troisième fois, faisant preuve d’une agressivité et d’une conviction largement plus probante.

Cette absence de réaction dans une situation pourtant grave suggère que le groupe de joueurs n’est pas loin de renoncer. Ce qui accréditerait encore davantage l’hypothèse d’un départ. À suivre…

Mathieu Chabert : « Je n’ai pas l’habitude d’abandonner le navire »
On le serait à moins, Mathieu Chabert est apparu très marqué lundi soir, en salle de presse, lors des réactions d’après-match : « C’est un mal récurrent, on a un énorme manque d’agressivité. C’est très inquiétant, il faut s’énerver dans le bon sens du terme, on ne peut pas accepter, j’en ai assez qu’on se fasse siffler, il faut une énorme réaction d’orgueil. »

Quelles solutions apporter ?
« Ce ne sont pas des moments agréables à vivre, ça fait partie d’une carrière. C’est là qu’il faut qu’on soit unis et qu’on vomisse, qu’on déteste ces situations. Qu’on ait de la fierté. On manque de tranchant dans les zones de vérité et ça, ce n’est que mental, il faut haïr ces situations-là. On aurait pu jouer des heures sans marquer, c’est fatigant de vivre des moments comme ça. »

Les joueurs vous écoutent-ils encore ?
« J’ai l’impression… Il faut leur demander. Il n’y a rien qui laissait présager cela, c’est ça qui est terrible. »

Comment voyez-vous votre avenir à la Berrichonne ?
« Ce n’est pas la question de l’avenir de Mathieu Chabert, mais de l’avenir de la Berrichonne de Châteauroux. Il faut qu’on prenne conscience de ça. Ce n’est pas à moi qu’il faut poser la question. Moi, je suis là, je travaille tous les jours pour sortir la Berrichonne de ce mauvais pas. Si vous saviez ce que j’ai vécu dans la vie, ce ne sont pas quatre matchs sans victoires qui vont couper mon élan. J’ai déjà entraîné des équipes qui se sont relevées de choses bien plus graves. Je n’ai pas l’habitude d’abandonner le navire, ni de lâcher mes joueurs. Il y a un manque de confiance et de sérénité mais ils travaillent et c’est comme ça qu’on redresse des situations. »

Lucho a écrit:Solution transitoire on imagine.

Avant de trouver un nouveau baratineur, avé l'assent, sympa avec tout le monde, et sans autre projet que de jouer en contre.

L'ADN des 10 dernières années du club, c'est bien (malheureusement) celle-là !!

Pas forcément Lucho, puisque potentiellement celui-ci pourrait etre Flachez. Je te rappelle qu'il vient du sud, a fait descendre la réserve de marseille, et surtout : il est pour les équipes solides avant le jeu

Ca colle !!

J aimerais bien je l ai déjà évoqué Frédéric hantz ou JM furlan mais là ça m'étonnerait
Il va falloir changer de braquet pour faire jouer les vedettes
A un moment United il faut savoir ce qu'ils veulent faire de chateauroux
Donc il faut mettre le paquet sur le chef d'orchestre mais j en doute

Probablement au final une association flachez bijotat

Un changement d'entraîneur est supposé apporter un souffle nouveau : dans l'état d'esprit et, éventuellement, dans le jeu pratiqué.
Je ne connais pas Flachez entraîneur et Dominique Bijotat, n'avait pas franchement obtenu de bons résultats lors de son passage à ce poste.
Une bonne pioche en extérieur (Hantz ?) est à espérer mais j'avoue douter de la capacité d'un autre coach, quel qu'il soit, à transformer nos attaquants en buteurs, nos milieux en créateur et/ou notre ligne de défense en un bloc hermétique.
Puisse le contre-exemple Kombouare (réputé pour vouloir avant tout la rigueur défensive et le combat physique et qui a changé l'équipe de Nantes dans le sens inverse depuis son arrivée l'année) être aussi de mise chez nous...??

Il ne faut pas juger trop rapidement Flachez sur ses capacités.

Mais dans nos têtes c'est clair qu'il part avec un gros gros handicap car comme certains l'ont déjà écrit plus haut le profil Flachez ressemble à Esteven, Ussai, Chabert des profils qui n'ont pas donné satisfaction.

On verra si le processus de recrutement a déjà été entamé depuis quelques temps en prévisions de l'éventuelle licenciement de Chabert qui était plus que probable. Pour moi licencier un entraîneur ce n'est pas anodin, ça n'arrive pas du jour au lendemain. Donc j'espère qu'ils ont déjà des pistes très chaudes sur des profils qui les intéressent et que même si il ne sera pas qualifié vendredi il sera dans le coin... Ou sinon ils gardent Flachez en numéro 1 mais pas un truc du genre "bon maintenant on va réfléchir quelques semaines en collégialité et on verra d'ici là trêve, pour le moment Flachez va prendre l'intérim" stratégie de pinces car si il enchaîne 3 victoires bien évidemment il restera et ils feront des économies et la situation n'est pas la même qu'en fin 2020 ou la descente en national était déjà pratiquement déjà acté...

Je pense que dans la situation actuelle il faut un coach capable de faire le tri et pragmatique. Déjà la saison dernière avec Simone le club a fait une erreur encore plus il fallait un coach capable de rapidement faire le tri dans tous ce chantier, même si certains peuvent être froissé le projet Simone c'est pas avec 7.5M de budget qu'il peut être efficace rapidement même en national il aurait fallu plus d'argent pour se permettre de jouer le titre et en plus se rajouter un contrainte d'un style de jeu très beau à voir mais pas forcément efficace sur le court moyen terme.

Daury avait su le faire lors de la 1er saison en national pour au final rater la montée de peu idem pour Vasseur en ligue 2, ils ont eu des grosses difficultés au départ avec des effectifs plaitoriques des complémentarités à trouver et mais le point commun c'est qu'ils ont réussi à insuffler un grosse dynamique alors ce n'était pas le jeu à la Simone mais le rouleau compresseur on la vu . C'est vrai qu'ils avaient dans leurs effectifs des Mateta, Benrahma, Tait, Wissa, Barthéléme par exemple ça aide mais je pense qu'ils ont contribué à leurs éclosions. Un mec comme Sarr qu'on a bien revendu à bien été mis en avant sur ses qualités de têtes par exemple on a vu après ce que ça a donné à Nîmes chez nous il était à 150%.
Un Tounkara avec Daury et avec Vasseur il a bien progressé il a quand même des stats intéressantes en L2 qui lu crû... 8 passes D en une saison.

Si je prends un gars comme Sanganté en L2 2017-2018 c'était un coéquipier pure et dure, un soldat au service du collectif en 6, il était dans son rôle ça fonctionné très bien sauf qu'aujourd'hui je pense qu'on lui donne un rôle qui n'est simplement pas le sien en lui donnant peut-être plus de libertés (je parle seulement de son rôle dans le jeu, pas du fait qu'il soit capitaine peut-être qu'il fait ça tres bien) je donne lui comme exemple mais il peut peut-être en avoir d'autres dans le même cas. En gros je veux dire qu'on attend sur le plan sportif peut-être trop de certains joueurs et qu'on leurs donnent une place qui n'es pas la leurs.

Quant Trottignon dit c est pas moi qui decide tres surprenant: c est quant meme lui qui a fait venir Chabert et valider tous les choix de Cordonnier!!!!

Et Flachez est là depuis le début de saison donc il a les mêmes résultats m…drôle d’état d’esprit de prendre la place de celui qui ta fait venir…

Le berry republicain semble comme la NR signifier que ce serait bien Flachez. Effectivement, très étonnant... ou pas ! Le message est clair, comme nous l'avions compris avec le recrutement : United a mis un peu au pot l'année passée, mais a sesser d'en rajouter. L'avenir s'annonce compliqué et inquiétant

Si, effectivement, Flachez devient entraîneur principal, c'est un indice de plus pour comprendre que la situation financière est tendue.
Le recrutement massif de la saison dernière a vraisemblablement coûte cher et a eu une incidence négative sur nos comptes.
Conséquence sur la présente saison, on ne remplace pas nos attaquants partis vers d'autres cieux et on recherche un entraîneur adjoint.
De plus, c'est très inquiétant pour la saison prochaine surtout pour conserver le statut pro.