Info staff, direction et avenir de la berri

argel a écrit:Merci

Ca serait fou de tout *** en l'air avec un non maintien en N1 alors que budgetairement ça doit pouvoir le faire, ça serait écoeurant....  
Ah ces fichues 30 secondes de rouen qui nous font perdre 2pts...........

On a aussi renversé des matches dans les arrêts de jeu (grâce à Sibierski bien sûr), ça marche dans les 2 sens.

On a encore notre destin sportif en main, et c'est le principal !

C'est la dynamique négative qui me gène et comme il ne reste que 4 finales.....la dernière ligne droite c'est maintenant et comme ça pioche physiquement,on a perdu mbengue pour au moins 2 matches, que Nîmes et Villefranche sont juste la, tous ces voyants m'angoissent
Heureusement qu'on joue chez nous les 3/4 de ces matches
Le public il faut qu'il soit la, peut être peuvent ils faire de la gratuité...
On va voir vendredi,si ça se passe bien...ou pas

Rintintin ou un autre peuvent ils nous mettre article nr sur situation avec ben Gufflet
Merci

Rodez un exemple qui sans centre de formation fait du bon boulot, petit budget, ils mettent je pense le max sur equipe 1, comme veulent le faire nos dirigeants:
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Argel ça illustre bien le déclassement de la Berrichonne.
Voilà comment en 2 ans on a bousillé des décennies de travail qui était honorable pour un bassin comme châteauroux.
On est rendu au niveau de Rodez... Devoir tout mettre dans l'équipe 1...

Argel quelqu'un avait dèjà mis un résumé de la NR.

Je peux mettre quelque phrases.

Le maintien n’est pas acquis, il va falloir aller l’arracher, mais il semble tout de même à portée de main. Et son importance est capitale, comme le confirme Benjamin Gufflet, qui donne aussi quelques indications sur la santé du club.

Le maintien. « On était dans une série magnifique, une remontada, alors que beaucoup nous voyaient déjà condamnés. J’ai toujours cru en ce groupe, en ce staff. Aujourd’hui, on est en fin de championnat, il y a de la fatigue physique et mentale compréhensible vu la saison compliquée, c’est le contrecoup. Le mot d’ordre c’est de se régénérer, à la fois les têtes et les organismes. Contre Le Mans et à Avranches, on a grillé deux jokers mais on a notre destin entre nos pieds avec un calendrier favorable. Il faut être professionnel jusqu’au bout, il ne faut plus se tromper et faire face à nos responsabilités, eux les joueurs et nous les dirigeants. Il faut deux victoires pour se maintenir, on a trois matchs à domicile, c’est très faisable. On n’a pas perdu en deux semaines tout ce qu’on savait faire, il n’y a pas si longtemps. Il faut se remobiliser. On doit réussir à se maintenir et si on y parvient, je n’hésite pas à dire que je considérerais les joueurs comme des héros. Vu les profondeurs d’où l’on revient. »

Prochain match contre Épinal. « Cette semaine, il faut se parler, se remettre en cause. On s’est tous grisés, on marchait sur l’eau et on s’est un peu relâchés. Il faut se remobiliser pour ce match de vendredi, se remettre la tête à l’endroit. Ce serait bien également que le public se mobilise comme il l’a fait face au Mans. »

Finances. « Financièrement, ça va bien parce qu’on est dans une gestion méticuleuse, on fait attention à tout. On a commencé à réduire les charges, on gardera une masse salariale joueurs aux normes de ce championnat. Le club est sur sa ligne depuis le début. Aujourd’hui, on a des discussions très avancées avec des partenaires nationaux qui sont très intéressés par le projet, qui sont déjà venus et ont été séduits, à condition qu’on se maintienne en National. Le maintien est vital et va déterminer la ligne directrice de la saison prochaine. Si les joueurs laissent le club en National, ce sera bénéfique pour tout le monde, eux les premiers. Morald Chibout également est très actif et impliqué et vient aussi avec d’autres partenaires de son réseau. Je n’oublie pas les partenaires institutionnels avec lesquels la relation est de qualité ni les locaux qui manifestent aussi de plus en plus d’intérêt. Le club est attractif si on se maintient, l’horizon est dégagé. Une descente en National 2 reste une hypothèse, on l’envisage aussi avec une remontée immédiate mais ce ne serait plus du tout le même projet et il s’agirait quand même d’un énorme gâchis. »

En chiffres. « On est sur 500.000 € nécessaires pour terminer la saison, somme qu’on a sécurisée depuis longtemps. On travaille sur un budget à 3,5 M€ pour la saison prochaine qu’on peut espérer augmenter, en cas de maintien bien sûr. »
Pas de plan social. Si certains salariés ont déjà quitté le club, il n’y a pas de plan social en cours. « On fait du cas par cas », précise Benjamin Gufflet.
United World. « Tout se passe bien avec les Saoudiens, avec lesquels je suis en contact régulier. » La rumeur qui sous-entend que les nouveaux dirigeants n’auraient pas payé leur dû, « est totalement infondée. Le deal est respecté, il n’y a pas de sujet ».
Saison 2024-2025. « Il y a des joueurs talentueux dans cet effectif, on cherche à les sécuriser pour la saison prochaine. On travaille dur là-dessus. Avant, il faut finir le job et maintenir le club. »

Pour la berri si tout se passe bien avec United, ce n'est pas la même musique en Belgique.

Après six saisons de coopération difficile avec United World, le propriétaire saoudien du Beerschot, Francis Vrancken en a en effet eu assez. Il quittera ses fonctions de président et démissionne également du conseil d'administration du club avec effet immédiat.

Vrancken, propriétaire de l'entreprise de construction DCA, détient toujours 12,5 % des actions du Beerschot. Il aimerait les vendre et a déclaré la semaine dernière, après la promotion en D1A, qu'un accord avec un investisseur était proche, mais United World a rejeté l'offre de rachat. La société saoudienne détient 75 % des actions anversoises et tient étroitement les rênes.

La presse néerlandophone assurait récemment que le directeur sportif Gyorgy Csepregi pourrait envisager de claquer la porte également s'il n'obtient pas les garanties nécessaires en vue de la saison prochaine. Il sera ensuite délicat de convaincre Kuyt de rester dans une telle ambiance.

Je pense qu'il était grand temps de céder

Ces saoudiens sont des amateurs, égarés dans le milieu du foot.
Ils sont partis de chez nous et c'est tant mieux.
En même temps, on peut légitimement se poser la question de savoir, comment ont ils pu atterrir chez nous ?

Eh oui, on se rappelle l'orgasme collectif à leur arrivée, ah ça fallait pas émettre le moindre doute à ce moment-là !

Et pourtant...

Le choix de ces personnages et la suite ?

Les 2 furent catastrophiques et tous nos dirigeants Berrichons de cette époque ont pris la fuite de la même manière que les saoudiens !

Quel gâchis !

Si le club n avait pas eu la pression des Actionnaires ils auraient peut-être pu le vendre dans de meilleures conditions aussi ? Car certains étaient bien informées de l offre de rachat des actions a 3000e donc a un prix plutôt très haut vue le contexte ce qui a précipité la vente ....... ! Bref aujourdhui c est le sauvetage sportif qui compte avant tout !

De mon point de vue les actionnaires ont juste été opportunistes (ce qui n'est pas interdit), en profitant du fait que des "hauts responsables" étaient prêts à tout pour vendre au plus vite.
Tout ça bien sûr dans l'intérêt supérieur du club, attention.

L'intérêt supérieur du club, ok, on a vu le résultat !

Est ce qu'un jour on verra à Gaston Petit les matchs à guichet fermé comme à Rodez, c'est vrai que les 2 stades n'ont pas la même contenance


13 guichets fermés sur 19 matchs à domicile vous avez été fabuleux ! :

Sans parler de "l'expérience utilisateur" exécrable au stade :

- Queue interminable à l'entrée si tu viens avec un billet ou une carte socio ...avec un stade quasi vide
- Queue interminable aux buvettes ...avec un stade quasi vide
- Plus y'a de monde attendus ... moins y'a de place pour se garer (fermeture du parking le long de l'avenue de la Châtre, barrages, ...) => coupe de France car en championnat on est tranquille ...
- Sièges dégueulasses (pleins d'eau ou pire de fientes d'oiseaux)
- L'été, soleil dans la gueule pendant tout le match quasiment, en tribune Intermarché
- Tarif pas forcément "bon marché"
- .. et je crois que j'en oublie

La flotte et le vent dans la gueule, par exemple.

Mais ça n'empêche pas le monsieur de France Bleu Berry, bien installé dans sa corbeille, de claironner qu'à GP toutes les places sont couvertes.

Info NR Saragaglia n'est plus l'entraineur de la Berri
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J'avais eu l'info , il n'y a plus le choix si descente les partenaires potentiels ne suivraient pas...
Je répète je n'avais rien contre l'homme mais là il fallait faire quelquechose pour sauver l'institution, tout faire pour la sauver!
Bon courage a Os

On est sauvé !