Denisot nouveau président, retour de Trottignon et nouvel entraîneur à venir

C’est dans la NR du jour, il n’est pas venu depuis le stage de Vichy….comportement inacceptable à la Mokkedem…je sens que l’ambiance est pourrie de l’intérieur, j’espère me tromper

parle t'on de romain grange dans la nr?quelqu'un peut il mettre le passage sur porato, pas pu le lire...
merci

Il est juste dit qu’il n’est pas venu au stage de Vichy et qu’il est mis à pied avec un rdv avec la direction le 02/08, certainement licenciement pour faute grave.

Pour Grange, pas de précisions sur sa blessure

Merci salsa

Pour porato c'est peut être extra sportif aussi. Il a des casseroles

Je pense aussi et je ne suis pas sûr qu’il tire dans le même sens que les autres, j’étais déjà étonné qu’il continue quand Simone et Legain sont partis

La NR de ce jour

À la veille du top départ de la saison 2022-2023 de National, Patrick Trotignon, directeur général de la Berrichonne, plante le décor. Il est limpide : cap sur la Ligue 2.

L’échec de la saison dernière est passé par là et les discours sont désormais teintés de nuances d’humilité au sein de la Berrichonne football. C’est aussi valable pour le capitaine du navire à l’échelle locale, Patrick Trotignon réitérant des accès de prudence à l’amorce du championnat, ce vendredi 12 août. « Mais la prudence n’est pas l’ennemie de l’ambition », précise-t-il aussitôt, tout entier dévoué au seul objectif qui vaille sous l’ère nouvelle saoudienne : le retour rapide en Ligue 2. Entretien avec un directeur général qui veut croire à la renaissance de la Berri.

Patrick Trotignon, tout le monde dit que la pression est très forte sur la Berrichonne cette saison. Ne l’est-elle pas trop ?

« Ce n’est pas non plus une question de vie ou de mort pour le club, il ne faut pas exagérer. Mais il est évident que cette deuxième année de National est différente de la première. Au bout, il y a des sanctions éventuelles si on ne monte pas en Ligue 2. Les plus graves, ce sont les pertes du statut professionnel et de l’agrément du centre de formation. »

N’auriez-vous pas droit à une dérogation pour conserver ces statuts en cas de non-accession ?

« A priori, la DNCG met en place des processus pour que des clubs pros comme le nôtre puissent continuer à en bénéficier. À titre d’exemple, le Red Star a obtenu deux années dérogatoires. En plus, la réforme des championnats de France fait qu’il y a une incitation plus forte à accepter une dérogation lorsque le club demandeur apporte les garanties financières nécessaires. »

On vit toujours comme un club de Ligue 2 qui attend d’y retourner

Patrick Trotignon, directeur général de la Berrichonne
Le plus simple pour s’éviter ces problèmes, c’est de monter en Ligue 2…

« Il va falloir y penser très fort, oui… Et c’est le cas. Personne au club, ici et au QG du groupe United à Genève, n’a envie de végéter en National. Déjà parce que notre club n’est pas formaté pour y rester. Quand tu as les infrastructures immobilières et les structures en personnel qui sont les nôtres, on ne peut pas vivre très longtemps en National à un rythme pareil. »

Donc c’est bien la Ligue 2 sinon rien ?

« On doit absolument accéder à la Ligue 2, dans les deux ans, grand maximum. La division va passer à 18 clubs et devenir un championnat en vue. Elle l’est déjà. Tous ses matchs sont disponibles en « pay-per-view », La Chaîne L’Equipe diffuse un match en clair tous les vendredis. La L2 d’aujourd’hui va devenir la Ligue 1 d’il y a dix ans. Les droits TV vont s’accroître, aussi. C’est une nécessité pour Châteauroux d’être en L2 à court terme. Monter, c’est une obsession. »

Quelles sont vos chances d’y parvenir à vos yeux ?

« Elles sont évidemment réelles. On ne va pas dire qu’on joue le maintien… On fait partie des clubs qui se considèrent comme ambitieux et qui souhaitent terminer dans les deux premiers. Mais nous ne sommes pas les seuls et on sait que cela va être très difficile. Il y a beaucoup de candidats, Nancy, Sedan, Villefranche, le Red Star et Versailles, que je considère comme le favori du championnat. C’est ouvert sur la ligne de départ. »

Qu’est-ce qu’il faudra faire de différent pour réussir ?

« La recette est toujours la même, quelles que soient les saisons ou les championnats. Pour réussir, il faut une équipe avec du mental qui se forge un esprit de groupe concentré sur l’objectif commun. C’est ça qui permet la réussite, le reste, c’est du bla-bla. Tous ces ingrédients, on ne les avait pas la saison dernière, pour différentes raisons. La première ayant été le grand renouvellement de l’effectif. »

7.500.000
Soit, en euros, le budget global de la Berrichonne football pour cette saison 2022-2023.

Quel sera le budget du club cette saison ?

« À peu de chose près le même que celui de la saison dernière, de l’ordre de 7,5 millions d’euros. Une nouvelle fois, un budget, tout dépend de ce qu’on lui fait dire. Le nôtre englobe le centre de formation et l’association, les deux bout à bout représentant 2 millions d’euros environ. L’ensemble du budget n’est pas dédié au secteur pro. Je rappelle aussi que la Berrichonne football, c’est une société qui établit plus de cent feuilles de paie par mois. C’est une belle petite PME. »

À ce sujet, certains prétendent que vous êtes trop nombreux dans certains secteurs et services. Qu’avez-vous à leur répondre ?

« Que nous ne sommes pas en surabondance de personnel par rapport à ce que nous demande le groupe United. Je conçois que cela peut être difficile à saisir de l’extérieur, mais c’est devenu nécessaire pour réussir dans le foot moderne. On vit toujours comme un club de Ligue 2 qui attend d’y retourner. »

Quel bilan personnel tirez-vous après votre retour aux responsabilités il y a un an et demi ?

« Je n’avais jamais été habitué à vivre dans une structure collégiale comme l’est United. Nous dépendons d’un groupe qui est très structuré, avec différentes branches. Nous sommes tenus de lui fournir des rapports permanents. Nous n’avons pas une maîtrise totale des décisions non plus, mais c’est tout à fait normal. On travaille en parfaite harmonie. »






Est-ce une source de frustration de ne pas avoir les mains totalement libres pour décider ?

« Je ne suis pas frustré. Si c’est le cas, je pars et je fais autre chose. Je m’inscris dans le processus général. J’ai acquis des automatismes avec le QG d’United. J’ai des relations extrêmement conviviales, courtoises et presque amicales avec les dirigeants du groupe. Il y a une confiance mutuelle. Certaines décisions sont imposées mais c’est à nous, parfois, de faire passer les bons messages pour que certaines de nos idées soient retenues. »

Ludovic Lagasse

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Aucune question sur le recrutement, seule question qui nous aurait un peu intéressée...

Lucho a écrit:Aucune question sur le recrutement, seule question qui nous aurait un peu intéressée...

Oui et en + il annonce le même budget que la saison précédente : 7,5 M€, avec un effectif réduit, étonnant ?

Marrakchi a écrit:

Lucho a écrit:Aucune question sur le recrutement, seule question qui nous aurait un peu intéressée...

Oui et en + il annonce le même budget que la saison précédente : 7,5 M€, avec un effectif réduit,  étonnant ?

Je me suis fait exactement la même réflexion. Mathématiquement du coup soit les frais annexes autres que les salaires de joueurs ont explosé.... soit on nous ment

Article de l'équipe Denisot et un marabout.

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