Michel Denisot serait l'homme de la situation.

A un moment donne il va bien falloir que les choses changent et moi je n'en vois qu'un capable de federer qui connait tres bien le club,la ville le departement et le foot de haut niveau, mais ses obligations pros l'empechent de s'y consacrer autant qu'il le voudrait ou alors il lui faudrait un homme de confiance comme du tps de trot mais.....le jour ou il reviendra ,je suis sur qu'il reviendra les choses changeront et j'espere qu'il reviendra,ce n'est que mon avis mais je ne suis peut etre pas si loin de la realite, esperons que ce ne soit pas trop tard.

A ce Michel,quand qu'il sera plus de ce monde,"j'y souhaite le plus tard possible",il y aura plus Berri.

Mais son retour est peut etre programme dans pas si longtemps que ca!

Oui Denisot reviendrait et introniserais Gérard Wozniack à la tête de l'équipe pour revivre les plus grands moments de la Berri des années 50! cooooooooool

L'humour a des limites surtout quand on y connait rien,a bon entendeur.

Quand ont lit cet article ,on comprends mieux pourquoi Denisot , s'est éloigné de la Berrichonne , on voit clairement ses relations privilégiées avec Trotignon , les problèmes récurants depuis 4 ans seraient ils dus à ceux qui sont à la tête du club , et qui ne veulent rien changé

La situation délicate de l'Étoile de Châteauroux ne laisse pas insensibles les Castelroussins. Y compris l'un des plus célèbres d'entre eux : Michel Denisot.

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En bon Berrichon, Michel Denisot est un lecteur assidu de La Nouvelle République. Dans notre édition du 5 février, son attention s'est focalisée sur l'article relatant les soucis rencontrés par l'Étoile de Châteauroux, qui accuse un déficit global de 11.362 €. Du coup, le présentateur vedette du Grand Journal sur Canal + a décidé de donner un petit coup de pouce au club historique castelroussin. Un choix sentimental. « J'ai vécu dans le quartier de l'Étoile dans ma jeunesse, j'habitais rue de la Vrille. De 6 à 10 ans, son terrain était mon terrain de jeu. Alors, quand j'ai vu ses problèmes, j'ai décidé d'aider un peu le club », explique l'intéressé.

'' Quand il m'a appelé, j'ai cru à une blague ''

Dans un premier temps, Michel Denisot va fouiller dans son portefeuille personnel pour subvenir aux besoins de l'Étoile. « Avec un chèque dont je ne souhaite pas communiquer le montant », précise-t-il. Plus tard dans l'année, le journaliste envisage d'organiser un match de football de gala dont les recettes seront entièrement reversées au club. Avec qui ? « C'est encore trop tôt pour le dire, mais j'en ai déjà parlé à Patrick Trotignon (actuel président d'Évian Thonon Gaillard) qui est, lui aussi, un ancien gamin du quartier de l'Étoile, dévoile-t-il. On peut espérer un rendez-vous avec les footballeurs d'Évian et du Variétés Club de France. On peut aussi imaginer que la Berri souhaitera s'y associer... » En attendant la finalisation de ce projet, Michel Denisot en profite pour faire passer un petit message : « J'espère aussi que l'Étoile de Châteauroux ne déménagera pas. »
Avoir le support d'un tel bon samaritain, Jean-François Lamatière, nouveau président du club, se pince encore pour y croire. « Quand M. Denisot m'a appelé pour me faire part de son envie de nous aider, j'ai vraiment cru à une blague. C'est comme si on avait frotté une lampe à huile et qu'un génie en était sorti (sic). J'ai mis du temps à réaliser. Et je ne l'ai sans doute pas assez remercié tellement les bras m'en tombaient. J'en aurais presque pleuré de joie », explique-t-il ainsi.
Une fois redescendu sur terre, le président étoiliste a retrouvé ses esprits. Pragmatiques. « Cette aide de M. Denisot va nous être très précieuse, évidemment, poursuit-il. C'est un vrai bon bol d'air, mais il n'est pas question pour autant de se prendre pour des riches. On reste dans une logique de sagesse pour résorber le déficit du club. » Et Jean-François Lamatière de préciser sa pensée par une formule bien sentie : « C'est une poire pour la soif, mais on ne la boira pas tant qu'on n'a pas soif ». Car la santé de l'Étoile reste encore fragile.
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Ludovic Lagasse

Pourquoi demander le retour de Denisot alors que la direction actuelle semble pas mal ?