La Coupe de France

Je préfère Troyesbqui joue un beau football à Bordeaux incapable de produire du jeu.....Furlan entraîneur porte sur l attaque, Gilot, entraîneur ultra défensif avec un football chiant à regarder.

de toute façon, la France n'a que ce qu'elle mérite au niveau européen
Si on regarde les palmarès par championnat, c'est même anormal que le Portugal et l'Ukraine soit derrière nous, voire même la Turquie, eux au moins arrivent à gagner la l'Europa League

Et quid de l'OM en ligue des champions avec une différence de +7... Ça promet du spectacle.

Résultats d'hier
Alors que l'AJ Auxerre a souffert pour éliminer le modeste club alsacien de Koetzingue (4-1 a.p.), les pensionnaires de L2 Clermont Foot, le Tours FC et Arles-Avignon ont été sortis dès leur entrée en lice de la Coupe de France, ce samedi lors du 7e tour. Grosse désillusion pour Régis Brouard, lequel avait atteint la finale de l'épreuve en 2012 avec l'US Quevilly, puisque son équipe de Clermont a subi la loi de Selongey (1-0), club de Côte d'Or qui évolue en DH. Le but de la victoire a été inscrit par Moumé-Etonde à la 68e minute.

Les Tourangeaux ont, eux, mordu la poussière face aux Herbiers (0-2), club de CFA. Les Vendéens ont marqué un but par période, par Papin (20e) et Schuster sur penalty (53e). Après deux défaites consécutives du TFC en championnat, l'entraîneur Olivier Pantaloni espérait une réaction de ses joueurs. C'est raté.

Et la troisième surprise de la soirée est venue du sud de la France avec l'élimination d'Arles-Avignon, qui a bu la tasse face à Alès (0-3), club de CFA2. Dans la seule rencontre opposant deux clubs de L2, c'est Dijon qui a pris le dessus sur Nîmes (2-1).

Et la Berri? avec les cancres cités ci-dessus.

Les finales de " Totor "
 
Victor Zvunka a remporté la Coupe de France avec Guingamp, en 2009, face à Rennes

Défait avec la Berrichonne en 2004, vainqueur en 2009 avec Guingamp, Victor Zvunka conserve des souvenirs intacts de ses deux finales de Coupe de France
Victor Zvunka ne manquera pas l'événement, ce soir. La finale de la Coupe de France 2014 propose une affiche qu'il connaît par cœur. Un duel entre Bretons – Guingamp - Rennes – que le technicien a eu le bonheur de remporté en 2009 avec le club des Côtes-d'Armor. Cinq ans plus tôt, le 29 mai 2004, alors aux commandes de la Berrichonne, Zvunka avait déjà goûté au parfum – amer cette fois – du Stade de France face au PSG d'Halilhodzic.
« L'expérience avec Châteauroux m'avait servi pour préparer ce match avec Guingamp. Il y a beaucoup de choses que je n'avais pas voulu reproduire, rappelle Zvunka. Dans l'organisation interne, tout avait été fait pour que les joueurs n'aient rien d'autre à penser que le match. Des choses sympathiques avaient été organisées avant le match avec la Berri mais on s'était un peu trop dispersé. »
En 2004, la Berrichonne avait joué trois matchs de championnat entre sa demi-finale et la finale. « Trop de joueurs s'étaient blessés », regrette encore l'entraîneur, dix ans après les faits. Giraudon et Coulibaly n'ont pas participé à la finale face au PSG alors que Roudet et Gueï revenaient tout juste de blessure. « Autant en quart et en demi-finale, nous étions en superforme, autant nous n'étions pas à notre meilleur niveau sur le plan physique à Paris. Après, il faut toujours un brin de réussite et il est vrai qu'El Bekri a raté son geste technique. Il a voulu dribbler alors qu'il fallait balancer en touche. Cela nous a valu un corner et on connaît la suite. »
Le but de la tête de Pauleta laisse encore des regrets à Victor Zvunka. « On a eu l'occasion d'égaliser par Roudet, de la tête, puis par Algérino à la dernière minute. Mais Letizi a sorti un arrêt remarquable. Ensuite, la fête a été complètement gâchée. Il n'y a rien eu à notre retour à Châteauroux… »
Avec Guingamp, cinq ans plus tard, coach Zvunka va vivre pleinement son succès. « Depuis Le Havre, cela faisait cinquante ans qu'un club de L2 n'avait pas gagné la Coupe de France. J'ai martelé ça à mes joueurs pendant toute la préparation. » Déjà galvanisés par leurs qualifications successives, toutes à l'extérieur avant la finale – Le Mans (1-0) en huitièmes, Sedan (3-1) en quarts puis Toulouse (2-1) en demi-finale – les Guingampais ont quasiment sauvé leur peau et ont perdu leurs chances de monter à Sedan au mois de février. « Cela m'avait permis de faire tourner. J'avais notamment mis Eduardo, plus fragile, au repos. » Le 9 mai 2009, Victor Zvunka amenait ainsi pour la deuxième fois un club de Ligue 2 au Stade de France : « Je crois bien être le seul entraîneur de Ligue 2 à l'avoir fait. »
Et cinquante ans après Le Havre, la hiérarchie était bouleversée. « Rennes avait peur, doutait, rappelle encore le technicien. Mon équipe était composée d'anciens et de trois jeunes (Souma, Silva et Koné). Physiquement, on était au top et prêt pour aller en prolongation. » Ce ne fut pas la peine.
" Mon meilleur souvenir avec le retour d'Épinal avec la Berri "
Malgré l'ouverture du score des Rennais, les Guingampais s'imposent dans le temps réglementaire (2-1). La petite sous-préfecture des Côtes-d'Armor peut narguer celle qui prétend être la capitale de la Bretagne. « C'était exceptionnel. Avec le public, ce fut une joie immense. Je n'ai rien connu de plus beau, excepté le retour d'Épinal à l'aéroport de Châteauroux avec la Berrichonne en mai 1997 lorsqu'on a obtenu l'accession en L1. »
Pour ce nouveau choc entre les deux équipes bretonnes, Zvunka a fait son choix. « Le cœur parle pour Guingamp. Mais ça sera plus serré qu'on ne peut le penser. Ça risque d'être tactique et psychologique. En championnat, les deux équipes sont assez proches mais les derniers résultats plaident en faveur de Rennes. Il n'y a pas de recette miracle. Mais Rennes n'a plus rien gagné depuis 1971 (Coupe de France), et, à un moment ça revient, la série s'arrête. Ils ont déjà perdu la finale de la Coupe de la ligue (Saint-Étienne) l'an dernier… »
Si le cœur penche en faveur de Guingamp, la raison, elle, et son nez fait donc de Rennes le favori de Zvunka pour cette finale 2014. Réponse ce soir.


Pierre-Yves Rochcongar sur la nr

QUANT VICTOR parle du retour d Epinal,je n etais pas dans l avion mais dans les tribunes et au pot d apres match:ce fut l un des plus grands moments de bonheur et de joie de la BERRI.DM doit s en rappeller!!!!!!!!

la fosse 36 a écrit:QUANT VICTOR parle du retour d Epinal,je n etais pas dans l avion mais dans les tribunes et au pot d apres match:ce fut l un des plus grands moments de bonheur et de joie de la BERRI.DM doit s en rappeller!!!!!!!!

Moi jai écouté le match sur une radio qui s'appelait RBS puis présent à l'aéroport pour l'arrivée des joueurs et enfin toute la nuit dans les rues de Chtx pour finir sous la fenêtre de la maison de VICTOR
Assurément le meilleur moment footballistique de ma vie
Que c'est loin tout cela

A la mi-temps de cette coupe de France, je me demande encore à quoi sert de mettre des arbitres sur la ligne de but quand on vous ce qui s'est passé lors de de match: un corner pour l'OM non signale par ledit arbitre, et de l'autre côté, une faute flagrante sur Aurier non signalée et ni la main de Tauvîn devant son but qui méritait un penalty. Donc, ces 2 arbitres ne servent à rien si ce n'est que c'est une dépense supplémentaire. Quelle connerie qui a été préconisée par M. Platini alors que la vidéo serait plus efficace.

http://www.topmercato.com/144726,1/brest---le-club-refuse-de-deposer-une-reserve.html
La classe

Le clip tourné par Philippe Katerine, accompagné de 600 (!!) supporters des HERBIERS et de MC Circulaire (rappeur "rural" dont j'ai appris pour l'existence pour l'occasion).
Le ton est décalé (difficile d'imaginer autre chose avec Katerine), les paroles pas si neu-neu qu'on pourrait le craindre et le clip...vraiment sympa.
Dommage que les BREUVACHONS ne nous aient pas proposé quelque chose comme ça en 2004...

https://www.youtube.com/watch?v=IGr2KvFg9UU

SCHIZO a écrit:Le clip tourné par Philippe Katerine, accompagné de 600 (!!) supporters des HERBIERS et de MC Circulaire (rappeur "rural" dont j'ai appris pour l'existence pour l'occasion).
Le ton est décalé (difficile d'imaginer autre chose avec Katerine), les paroles pas si neu-neu qu'on pourrait le craindre et le clip...vraiment sympa.
Dommage que les BREUVACHONS ne nous aient pas proposé quelque chose comme ça en 2004...

https://www.youtube.com/watch?v=IGr2KvFg9UU

les breuvachons ont été dissouds

Je sais bien, oui... :(
Maintenant, le breuvachon peut-il se dissoudre ? Et si oui, dans quoi ? Pas dans de l'eau tout de même !!

Katerine est venu à Châteauroux, avec Julie Depardieu, en août 2017.
Ils ont eu l'honneur de remettre le trophée au vainqueur du tournoi organisé par ce qui était encore La Berri basket.